Re: Eglise Aeolienne

Auteur: Philippe Sigaud <sigaud_at_...>
Date: Tue, 23 Oct 2001 11:26:33 +0200 (MEST)


En r�ponse � "Sylvain.CHAUVIERE" <sylvain.chauviere_at_...>:  

> en gros , ce sont des magistes qui sont arrives l� avec leurs
> croyances.
> mais quand il en ont eu marre de se prendre tempete sur tempete sur la
> tete,
> ils ont cherch� un nouveau saint � ador� pour calmer ces ventss
> destructeurs. la nouvelle entit� qu'il venerent n'est en fait personne
> d'autres que Orlanth. entit� que les orlanthi du coin leur ont montr�.
> au fur et � mesure, les entit�s des orlanthis ( les dieux quoi) sont
> pass�
> en tant que saints dans les croyances des magistes.
> donc les aeoliens adorent le Dieu invisible, un vrai saint ( Aeol) et
> une
> ribanbelle de faux saints ( les dieux du panth�on orlanthi en culte
> inadapt�).

en gros, oui. Mais adorent-ils vraiment le dieu invisible, l'ont-ils dans leurs liturgies ? Connaissent-ils le Livre Irr�futable ? Et quels pouvoirs leurs donnent Aeol s'il est adore comme un saint et differencie d'orlanth ?

Croient-ils en Malkion, en Hrestol, voire en Rokar ? Bref, leur positionnement entre les malkioni occidentaux et les orlanthi est mal defini pour moi.

J'aurais tendance (AMHA) a dire qu'ils connaissent Malkion et Hrestol, mais que le prophete le plus important est Aeol... (que je veux bien voir confondu avec Orlanth)...

on sait qu'ils adorent Sainte Chalanna (Sainte patronne des guerisseurs), saint Elmal (chevaliers, combat a cheval), Saint Taurox (berseker anti chaos dans l'Empreinte), Saint Issar(ies) le saint patron des commer�ants et des voyageurs.

En ce qui me concerne, il y a aussi des saints patrons pour les villes, les comtes, les corps de metiers, les guildes, etc. Le saint patron des forgerons de Durengard, le patron des skaldes, des gardes, etc. Ce ne sont pas forcement a chaque fois des dieux orlanthi je pense : ca peut etre de temps a autres des versions deformees des saints d'occident (saint Gerlant a l'Epee de Flammes).

ils doivent aussi avoir des notions de castes (ou classes sociales) plus strictes que les orlanthi, et une noblesse hereditaire parmi les comtes et duc du royaume.

Philippe

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