Frederic Ferro
> Dormal n'a rencontré personne pendant son premier voyage ? Il
> doit y avoir au moins un temple à l'Albatros et au Vieux
> Marinier.
Un autel, oui sûrement. Dans les Iles des Trois Pas se trouve également le Port du Serpent (Serpent Harbour) où vivent les monstres marins vaincus par Dormal. Si un navire s'en va ballader là-bas, non content de se faire manger, l'équipage est à tout jamais incapable de bénéficier du sortilège d'Ouverture des Mers. Il y a sûrement des gens, anciens naufragés, qui vivent au Port du Serpent. Ils ne peuvent pas quitter cette île particulière, et personne ne veut aller les chercher là-bas, vu ce que ça veut dire. On peut se demander de quoi ils vivent.
> D'après la description de la cité de Shipstead ("Neffief" ?)
> sur http://www.glorantha.com/hw/heroband_wolfpirates.html
>
> "The Wolf Pirates are on their own and doing quite well.
> However, Shipstead has a large civilian population, unknown to
> most mainlanders. These people have some farming and fishing
> practices, but their simple houses are lavishly furnished with
> plunder, and many are very well dressed for their humble tasks.
> Although they live in virtual slavery to the Wolf Pirates, they
> are rarely mistreated."
>
> On peut soit interpréter cela soit comme une population
> indigène soit des thralls des Iles glacées en plus de tous
> les prisonniers pris dans les raids. Je trouve plus amusant
> d'additionner toutes ces possibilités.
Possible, mais la vie sur les Iles des Trois Pas pendant la Condamnation a dû être dure. Tant qu'à choisir, je préfèrerais encore les Iles d'Ygg. S'il y a eu colonisation, c'était sans doute juste après l'Ouverture. Sans doute que ces colons avaient des raisons très intéressantes pour aller s'exiler sur ces îles perdues, loin de chez eux. Plutôt que des Pélaskiens, je verrais bien autre chose pour changer ;-) peut-être des gens des Iles du Dieu Perdu..
Un ou deux palmiers par ci par là ça mange pas de pain. Moi je préfère la version "petites îles paumées battues par les vents", rocheuses, stériles, avec des brins d'herbes et des flaques d'eau pour les chèvres et des petites rades abritées, irriguées par des eaux de pluie, avec des petits jardins et pourquoi pas, comme Philippe Reymond l'a suggéré, des palmiers, s'il n'y a pas trop de nuages et assez de soleil. En dehors de ces coins privilégiés, y a pas grand chose à visiter.
Jerome
Cette archive a été créée par hypermail