> A charge du joueur de jouer cet
> aspect de son perso. Cela fait partie du rôle.
Oui, mais c'est le MJ qui doit montrer la voie pour ce qu'il
considère comme bien jouer cet aspect du perso
>
> La première est incitative. ...
> il y a toujours une congrégation quelconque qui prépare une
> procession, une fête ou un pélerinage à peu près partout, sans
compter
> les calvaires, reposoirs et autres dans les campagnes (les bornes
de
> fertilité du Comté du Soleil en sont un exemple). Il y a aussi les
> cultes des ancêtres dans les grandes familles plus les dieux des
> foyers, etc.
Je suis d'accord avec toi. Mais participer passivement aux coutumes et fêtes des humains ne suffit pas pour être un croyant. Cette participation n'a de sens pour le perso que parce qu'il la considère comme une relation avec le divin. Le joueur moyen peut très bien me dire "oui, oui, je vais 5 fois par jour au temple et je donne 30% de mes biens". Cela ne veut pas dire pour moi que son perso est religieux.
> La deuxième est "répressive". Si les persos ne prient jamais leurs
> dieux, il y a des chances que les responsables de leurs
congrégations
> ne les voient jamais aux messes (cf calendrier ci-dessus). D'où des
> sermons pénibles s'ils arrivent à leur mettre la main dessus. Toute
> une échelle de sanctions est disponible : difficulté à utiliser les
> sorts, obligation de s'acquitter d'un travail pour le culte pour se
> faire pardonner, etc.
Ouais mais on en reste encore à un niveau humain. Ce sont les prêtres
qui vont les dénoncer aux dieux. Ca ressemble assez finalement au
catholicisme (époque inquisition), ce n'est plus les dieux que l'ont
craint mais l'église elle-même.
> leurs persos sont issus de cette
> culture et donc n'ont aucune raison d'y échapper.
Mouais, ce type d'argument n'est pas top pour motiver des joueurs au
roleplay.
Merci,
Jerome
Mais où donc est la voie de l'illumination?
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