Et la lune bleue, cette grand-mère paralytique oubliée au fond du tourbillon de Magasta, tu en fais quoi ? Je le trouve un peu réducteur, votre concept.
Je vois plus la lune comme le principe éternelle de la fémininité : complexe, paradoxal, mystérieux, charmeur, dangereux, passionné... etc.
Ma meilleure source dans ce cas reste Salammbo de Gustave Flaubert avec le culte de Tanit la déesse carthaginoise de la lune... fascinante de séduction mystérieuse.. rien à voir avec la catin du chaos de la propagande grossière des barbares orlanthi ;-)
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