> Et la lune bleue, cette grand-m�re paralytique oubli�e au fond du
> tourbillon de Magasta, tu en fais quoi ?
> Je le trouve un peu r�ducteur, votre concept.
Oh l'autre.
comment ca grand-mere paralytique ? Tu veux dire jeune et fugace deesse gerant
les maree ?
Tu veux dire insaisissable deesse des mysteres et secrets ?
Tu veux dire une deesse trolle etrange ?
En fait, la lune bleue est partout et nulle part. Elle est toujours presente, seuls les ignorants ne sentent pas Sa Lumiere.
Et de toute facon il y a eu plusieurs lunes rouges et plusieurs lunes bleues. Mais il me semble qu'il est possible de faire un scenar sans chercher a caser l'integralite de la mythologie lunaire dedans :-) (surtout un truc aussi peu connu que la lune bleue)
> Je vois plus la lune comme le principe �ternelle de la f�mininit� :
> complexe, paradoxal, myst�rieux, charmeur, dangereux, passionn�...
> etc.
(et la, il prend le risque que qqn demande si elle fait la vaisselle)
> Ma meilleure source dans ce cas reste Salammbo de Gustave Flaubert
> avec le culte de Tanit la d�esse carthaginoise de la lune...
> fascinante de s�duction myst�rieuse.. rien � voir avec la catin du
> chaos de la propagande grossi�re des barbares orlanthi ;-)
ces barbares puants ne comprennent pas les visages de la Deesse.
Mais je suis d'accord avec toi. Le cote feminin de la lune a une grande importance dans nos parties. Vivement des descriptions plus poussees de l'Empire.
Philippe
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