Les subtilités du berserking (en couleurs)

Auteur: hcarteau_at_...
Date: Fri, 09 Nov 2001 20:25:40 +0100 (MET)


En r�ponse � Nicolas Perpere <perpere_at_...-cachan.fr>:
>
> Les effets du Berserk sont que celui qui est dans cet �tat doit miser
> au moins la moiti� de ses PA � chaque tour, mais il gagne un atout �gal �
  1/4 de sa capacit� berserk.
 /// Donc si je suis bien, un Uroxi avec Berserk 4M gagne un atout de + 6 � chaque coup port�, � condition s'il a le skill hache � 2 mains 10M de miser au moins 15 PA � chaque action ?

Philippe rappelle que le berserking est une mal�diction autant qu'une b�n�diction.

Le Berserk ne pense plus qu'� combattre et � tuer, il n'utilise plus que la magie de son Dieu le lui permettant.

Il ne peut s'arr�ter qu'une fois totalement �puis�, car si tous les m�chants sont morts il attaquera les amis, les vaches, les arbres, les pierres... Seules les Dames Blanches ont un rituel pour calmer les Berserks en action.

Quand il sort de sa transe, il est TOTALEMENT �puis�. Impuissant. A la merci du moindre chaot' ou trollkin encore dans le secteur apr�s le massacre.

Enfin, les styles de berserking sont eux aussi diff�rents. Les adorateurs du Taureau braillent, hurlent et font de grands mouvements en se battant (qu'ils soient berserk ou non d'ailleurs ; pareil pour l'envie de bi�re). Un tourbillon se forme autour d'eux, l'image du Taureau y transparait parfois, des cornes peuvent aussi appara�tre fugitivement sur son front, il mugit plus qu'il ne crie.
Je vois en revanche les Humakti comme de froides machines � tuer, avec des gestes encore plus pr�cis que d'habitude, de v�ritables scalpels vivants. L'air autour d'eux se refroidit, ils deviennent plus p�les, leurs yeux changent de couleur. La lueur de mort de leur �p�e augmente. Et ils n'�mettent pas un cri.

Un berserk yelmalion ? Pourquoi pas, si un troll sombre est sur le point d'�teindre par sa puante magie la lumi�re du sanctuaire apr�s avoir �trip� le Fils de Lumi�re responsable des lieux ? Mais cela viendrait de l'int�rieur, aliment� par son courroux, pas d'un prodige jet� par un autre.

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