Une des cl�s du probl�me, c'est Greg Stafford et ce que repr�sente Glorantha pour lui.
Je me pose deux questions :
Je ne penche pas pour la troisi�me hypoth�se.
2) Comment voit-il son travail sur Glorantha ? Comme :
- Une oeuvre de paralitt�rature ? Ses publications deviennent d�s lors pour
lui le moyen de gommer la frustration du jeune �crivain qu'il a tent� d'�tre
� la fin des ann�es 1960 et qui s'est heurt� au refus des �diteurs de
publier ses histoires de "fantasy" ?
- Un moyen de "s'introspecter" tendance n�o-zen-psych�d�lico-chamanique ?
Vous savez, le discours "Un univers mythologique, c'est une fa�on de mieux
se conna�tre, d'�tre mieux dans sa peau...", cf. son intro dans l'un des
livrets HeroWars, ou bien certaines de ses interviews, par exemple dans
Casus 1.
- Un univers de JEU ?
Je ne penche pas pour la troisi�me hypoth�se non plus.
Et au final, �a explique peut-�tre certaines choses dans la politique �ditoriale d'Issaries : toujours plus loin dans la mythologie orlanthi, toujours plus loin dans une forme d'�sot�risme au d�triment de la jouabilit� de l'ensemble - qui me semblait au contraire mise � l'honneur dans le livret "Glorantha", que je trouve tr�s compl�mentaire de "G�nert�la" chez Oriflam : l'un �claire l'autre et vice-versa.
A+
Greg
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