> > Je viens consulter votre savoir pour obtenir des informations
> > concernant les rites fun�raires des H�ortiens.
>
> Ca depend... Dans quel camps es-tu ?
>
> > Les morts sont ils
> > brul�s et leurs cendres dispers�es aux vents pour rejoindre Orlanth
> > ou bien sont ils enterr�s avec leur possession, des sortes de
> > tertres.
>
> J'hesite, je ne me souviens plus si c'est dit quelque part. Selon
> l'inspiration viking, il y aura un beau buche funeraire. Selon
> l'inspiration celtique, je dirais des tertres.
Ils sont brul�s je crois, les cendres des femmes enterr�es dans des urnes, les cendres des hommes en partie dispers�es au vent, avant d'�tre enterr�s.
On ne brule le corps qu'une fois que 7 jours sont pass�s. Avant, l'ame n'a peut etre pas encore atteint Havan Vor, le Juge des Morts (connu aussi sous le nom de Grand Pere Mortel) et le retour a la vie est possible pour qqn d'extraordinaire, suite a une quete de Chalana Arroy , etc.
tout le reste de ce qui a �t� dit sur les collines venteuses me semble une tres bonne id�e. Je vois deja une sc�ne ou les h�ros sont oblig�s d'aller sur la Colline des Urnes, l� ou reposent les morts, pour interroger au cours d'une c�r�monie un ancetre enterr� la.
Petit point aussi : officiellement, les ancetres sont toujours une masse indisctincte, avec seulement tres rarement qqn de reconnaissable dedans. Donc pour pouvoir interroger qqn a partir de son urne, il faut qu'il ait �t� ador� des le d�part. Sans adoration, la personne passe dans le hall d'orlanth puis se r�incarne. Avec adoration, la personne continue d'exister dans le domaine des dieux et devient elle-meme un petit dieu.
Ces champs d'urnes sont la raison pour laquelle les clans d'H�ort et d'Esrolie ont eu tant de mal en passant dans la Passe du Dragon : soit tout �tait laiss� derri�re, auquel cas la lign�e perd son contact avec les anc�tres (dont certains remontent � Orlanth !). Soit ils d�terrent tout et bon courage pour transporter tout ca. Et apres, il est encore n�cessaire de tout remettre en terre avec les bons rites, pour calmer le traumatisme des anc�tres.
Philippe
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