> > > De : Jerome Blondel [mailto:bwbfc_at_y...]
> > > Comment traduisez-vous kayling? (un terme qui désigne les
> > > personnes qui sont du même culte, par exemple deux Humakti
> > > sont des kaylings).
> > > Jerome
>
> > Le terme français est coreligionnaire mais il ne s'adresse
> > qu'aux prosélyte (quelqu'un qui cherche à ramener de nouveau
> > adepte à son/ses dieu(x))
> > Sinon tu peux utiliser le barbarisme de co-adepte qui n'existe
> > pas mais qui en a le sens etymologique.
> > _at_+
> > Gaël
>
> Kayling n'est pas un mot courant en anglais ou pas anglais.
> Au point de ne pas faire partie du dictionnaire classique.
> Plus couramment: coreligionnaire est traduit en coreligionnist
> dont la définition est: "a person of the same religion"
> Cela répond-il à ta question ?
>
> Maintenant tu peux considérer que c'est du patois et trouver
> un terme approchant: en région lyonnaise était utilisé le terme
> de "courturnes" pour deux personnes suivant vivant dans la même
> chambre universitaire, ils partagent un certain nombre de chose en
> commun.
> Pareil, pas de sens étymologique mais c'est du patois. ;)
> Désolé pour les lyonnais, le terme patois est un peu excessif...
>
> Vingo
> Paris, France.
Méfies-toi, le régionnalisme revient fort en ce moment.
Tu vas te faire tomber dessus ;-)
Dans ma région (Limousin) et plus au sud, on dit occitan.
Il y a sûrement un nom pour la langue lyonnaise (mais l'identité
est peut-être moins forte).
J'ai un ami breton (le style à venir à une convention avec un T-shirt
de l'IRA ;-) qui a une théorie assez fumeuse sur le jeu de rôle
trouvant ses racines dans les contes des troubadours.
Pour raccrocher sur Glorantha, il ne faut pas oublier que
les orlanthi sont une culture essentiellement orale.
On peut se demander d'ailleurs dans quelle mesure l'Empire utilise
le nouveau pélorien comme instrument d'assimilation.
Car sans langue commune, difficile d'avoir une administration
efficace et un pouvoir fort (je ne suis pas régionnaliste ;-)
Iznogoud,
corrèzien, de passage à Lyon
"J'aime voir seigneurs charger et manants s'enfuir... "
Bertrand de Born - Les plaisirs du printemps
PS : Ce texte (racontant les expéditions de pillage des nobles
du haut moyen-âge) m'avait beaucoup intéressé lorque nous
l'avions étudié au lycée.
Allez savoir pourquoi ;-))