Vadrus II

Auteur: Boris yarko <babeldemeter3_at_...>
Date: Wed, 28 Feb 2007 12:19:24 -0000

Je scinde les posts pour qu'on s'y retrouve plus facilement ! _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

VADRUS Merci d'abord à Sylvain pour toutes ses infos sur Vadrus : a) http://fr.groups.yahoo.com/group/Glorantha_VF/message/11714 b) http://glorantha.temppeli.org/digest/gd9/2002.07/0829.html

A la lumière de tout cela, il semblerait que Vadrus, bien qu'annihilé par le Chaos n'ait pas complètement disparu.

Il continue d'exister à travers :
a) le récit de ses actes (quand ils mettaient en cause d'autres dieux qui eux ont survécu)
b) certains de ses daïmons qui ont rejoint son fils Valind (sources : Sylvain et Bryan) et ont donc survécu à l'annihilation de leur dieu.

Comme ses actes continuent à être raconté, j'imagine que ses quêtes héroïques sont toujours partiellement ouvertes (avec les limites que j'envisage dans mon post sur les dieux morts : http://fr.groups.yahoo.com/group/Glorantha_VF/message/11715)

Comme certains de ses daïmons lui ont survécu, et que Valind a hérité d'une partie de ses pouvoirs (surement des objets magiques, alliés, etc. : des pouvoirs extérieurs à son être strict qui a été, lui, annihilé par le Chaos), un culte doit être envisageable.

CULTE :
1) culte de Vadrus à travers Valind (culte inadapté avec un nombre d'affinités et de prodiges restreints : seuls les alliés, objets et daïmons sauvegardés par Valind peuvent encore répondre à ce culte) : culte inadapté.
Je réserverai cette option pour des tribus d'Oranor, les Ghadaris et les Resanti qui ont refusé la mort de leur dieu et s'obstinent à lui vouer un culte.

2) Pour mes Yggites, je préfère une version plus mélancolique : ils révèrent le souvenir du dieu disparu. Ils lui rendent hommage lors de cérémonies, même si le culte proprement dit est impossible (pas d'affinités ou de prodiges). Néanmoins, ils continuent à rassembler des informations sur sa vie et ses actes, et parfois, au péril de leur vie, accomplissent ses quêtes héroïques malgré les risques d'annihilation. Le côté : "je continue à adorer un dieu mort sans en retirer le moindre pouvoir", cela a de la gueule, je trouve. Lire la Rose et le Prophète de Weis et Hickmann à ce propos (des antipaladins du dieu du mal continuent de lui vouer un culte malgré sa quasi-disparition).

Babel Demeter